À l’issue de l’appel à la mobilisation générale consécutive à l’agression à laquelle fait face la République démocratique du Congo de la part du Rwanda, sous le proxy des terroristes du M23, des milliers de jeunes en provenance de toutes les provinces s’étaient volontairement manifestés pour défendre la patrie en servant au sein des Forces armées.&nbsp;Depuis, 10 200&nbsp;volontaires suivent une formation au centre d’instruction de Kitona, situé dans le territoire de Moanda dans le Kongo central. C’est dans le but d’encourager ces jeunes recrues que le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi s’y est rendu en date du 8&nbsp;décembre, afin de les exhorter à la discipline et à ne jamais trahir la patrie pour laquelle, ils constituent le rempart face aux menaces intérieures et extérieures. Un message clair à nos agresseurs et à tous ceux qui souhaiteraient imiter la voie de la sédition pour accéder à des postes de responsabilité, qu’ils se sont trompés d’époque !&nbsp;La loi de programmation militaire et le budget de la défense nationale revu à la hausse sont des exemples de la détermination à pacifier entièrement la Nation de toutes les poches d’insécurité qui gangrène son ascension et la maintiennent dans une instabilité entretenue par des forces négatives. Cette première vague de recrues enrôlées en quelques semaines n’est qu’une première étape dans la montée en puissance de nos Forces armées et s’intensifiera progressivement pour répondre aux besoins de la défense nationale.&nbsp;

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Devant 10.200 nouvelles recrues prêtes à en découdre avec nos agresseurs, Félix Tshisekedi a rappelé la devise du Warrior congolais : ne jamais trahir le Congo. 

Centre d'instruction de Kitona : Félix Tshisekedi galvanise les troupes

Constant Mutamba est de prime abord revenu sur les missions lui assignées par le Chef de l'État Félix Tshisekedi de l'état des lieux d'un secteur de justice malade à la proposition des grilles d'action qui puissent répondre aux attentes notamment de la population. Le Ministre d'État, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux a su procéder à des réformes."Réformes sur un certain nombre de questions notamment le climat des affaires. Il faut impérativement redonner confiance aux congolaises et congolais, aux opérateurs économiques, aux étrangers qui choisissent la RDC. Et pour ça il faut rapidement travailler sur la sécurité juridique et judiciaire. Cela nécessite des réformes. C'est pourquoi nous nous sommes attelés à travailler sur un certain nombre d'initiatives de projets de textes qui tendent à protéger les entreprises, services, établissements publics. Mais aussi nous avons travaillé sur un texte qui institue la caution judiciaire. Le Chef nous a dit de travailler sur ces deux textes en urgence lesquels ont été adoptés au dernier conseil des ministres", a précisé Constant Mutamba.Le Ministre d'État, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux a également évoqué une collaboration avec les huissiers de justice pour mettre en place une commission mixte devant désormais toiletter les processus d'exécution en justice. Des mesures qui permettront à arrêter la délinquance économique et financière. D'où, la mise en place d'un parquet financier.En ce qui concerne l'assainissement du secteur de culte et association, Constant Mutamba a fait savoir qu'une commission après une séance de travail avec tous les responsables religieux a été mise en place et a travaillé sur les mesures drastiques d'assainissement."Nous avons interdit de commun accord de trouver des églises dans un rayon de 500 m. Il faudrait créer une distanciation", a-t-il souligné.Et d'ajouter : "Nous avons instauré le système de permis d'exercice de culte. Il faut désormais le permis de culte (...) Les mesures d'application concernant la délivrance des permis de culte seront bientôt rendues publiques. Ceci va permettre de maximiser les recettes de l'État, d'encadrer et de rendre efficace l'action &nbsp;du gouvernement."Face à la dépravation des mœurs et à la nuisance sonore, Constant Mutamba n'a pas mâché les mots : "Il est anormal de voir la dépravation des mœurs être mise au devant de la scène&nbsp; Il est anormal de voir aujourd'hui nos enfants faire l'apologie du sexe (...) Nous avons également lancé l'opération contre les nuisances sonores. Il est anormal que nos enfants puissent étudier avec des bars à côté qui mettent de la musique comme bon leur semble.Le Ministre d'État, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux a également évoqué d'autres avancées dans son secteur dont &nbsp;la création du sceau de l'État, la suppression de l'affaire F92, l'amélioration des conditions de vie de nos magistrats et la numérisation de l'administration pénitentiaire et judiciaire.

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Le Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Constant MUTAMBA TUNGUNGA et le Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick MUYAYA KATEMBWE, ont co-animé ce mardi 23 juillet en la salle de la Presse RTNC3 un briefing presse autour de «Reformes du Gouvernement engagées dans le secteur de la Justice.»

Briefing presse du Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Constant MUTAMBA TUNGUNGA et le Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick MUYAYA KATEMBWE

Aussitôt arrivé le mercredi 10 juillet dernier en fin d’après-midi, il avait participé à la cérémonie de présentation officielle et de dédicace du livre héritage intitulé «&nbsp;La CAN de l’hospitalité 2023&nbsp;», à l’Espace Christal.Prenant la parole après son homologue ivoirien Amadou COULIBALY, le ministre MUYAYA a reconnu la bonne organisation de cette compétition panafricaine tenue en février dernier de par son hospitalité, de l’engagement du gouvernement ivoirien et des éléphants qui avaient preuve de résilience, et a salué la publication de cet ouvrage qui retrace les grands moments de la CAN.«&nbsp;La République Démocratique du Congo vous a félicité pour cette belle victoire finalement méritée au regard des efforts consentis en une dizaine d'année. J'allais terminer mes propos en disant merci encore pour votre hospitalité et l'accueil, mais merci surtout à celui qui a pensé écrire cette histoire. Car, dans 50 et 100 ans, nous tous nous ne serons plus là peut-être même un peu plus tôt, &nbsp;mais il y a des jeunes qui se remémorons. De ce document et comme pour dire qu'il n'existe jamais des hasards. L'une des plus belles pages de ce document est réservé à la République Démocratique du Congo avec ces compatriotes souriants et heureux avec le drapeau national. C'est aussi là que naissent les émotions devant la CAN que vous avez fait bien revivre à travers ce document&nbsp;», a-t-il dit.Au deuxième jour, le ministre et sa délégation ont eu une séance de travail avec son homologue ivoirien entouré de ses collaborateurs.&nbsp; «J’ai profité pour mettre mon séjour à profit et avoir un moment d'échange avec mon homologue ministre de la Communication et Porte-parole du gouvernement ivoirien. Nous avons non seulement eu des échanges fructueux en terme d'expérience de ce que nous pouvons partager parce que le constat c'est que nous ne partageons pas beaucoup entre africains et que par la suite, j'ai manifesté le besoin de comprendre l'écosystème médiatique et communicationnel ivoirien voir quels sont leurs points forts, leurs points faibles parce que c'est toujours utile d'apprendre des autres et je crois que nous avions eu des contacts qui lui ont permis de voir ce qui est bien chez nous et j'ai pû voir aussi ce qui était positif ici en Côte d’Ivoire, principalement, j'ai été marqué par le faible nombre de médias (sept chaînes de télévision), alors que chez nous, nous en avons plus de deux cents&nbsp;», a témoigné le ministre congolais.Et de poursuivre : «&nbsp;C’est vrai que les pays ont des contextes différents, mais quand vous regardez le nombre, cela vous donne une illustration du défi que nous avons notamment en terme de salubrité médiatique parce qu'ici, les médias sont viables, et ils remplissent les objectifs qui sont les leurs. Je pense que de ce point de vue, cela nous a renforcé dans la démarche que nous avons déjà engagé&nbsp;» a-t-il indiqué.Le même jour dans la matinée, le ministre Patrick MUYAYA a activement pris part aux AS de la Communication (ASCOM) organisée sous le haut parrainage de son homologue le ministre de la Communication et des Médias - Porte parole du gouvernement ivoirien Amadou COULIBALY. Patrick MUYAYA KATEMBWE s’est tout d’abord conformé au thème de cette 11ème édition qui est celui de vendre son produit. En tant que voix officielle du gouvernement SUMINWA, il a positivement présenté la République Démocratique du Congo auprès de la centaine de participants présents dans la salle CRRAE-UEMOA et de milliers qui étaient connectés sur la page officielle de l’ASCOM.Il a invité les ivoiriens et autres peuples africains qui suivaient en direct ce grand rendez-vous des professionnels de la communication, des médias, de l’événementiel et du marketing, de visiter la République Démocratique du Congo ou d’y résider ou encore de venir investir. Invité d’honneur, le ministre Muyaya a été surpris par le comité organisateur à travers le prix d’honneur de l’impact pour son engagement dans l’excellence et dans la promotion de l’image de marque de la République Démocratique du Congo. Il convient de rappeler que son homologue ivoirien a reçu le même prix pour son implication dans les réformes de la Communication et des Médias en Côte d’Ivoire, et surtout pour sa proximité avec les professionnels de son secteur et la population.Il convient de signaler que le même jeudi dans l’après-midi, le ministre MUYAYA avait visité l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC Polytechnique) où il avait échangé avec son directeur général, le corps enseignant et les responsables des pratiques professionnelles sur les enseignements dispensés et les différents débouchés. Juste après, il avait exploré les installations de la Radio télévision ivoirienne (RTI) où il avait échangé avec l’équipe dirigeante et a jeté un coup d’œil sur les différents studios et salles de montage. «&nbsp;J’ai été surpris d’apprendre que la Radio télévision nationale Congolais et la Radio télévision ivoirienne ont déjà entrepris des pourparlers pour s’échanger des contenus. Je pense que nos deux médias publics sont sur la bonne voie pour nous accompagner dans le &nbsp;narratif que nous voulons pour notre continent, l’Afrique. À mon retour, à Kinshasa, je m’informerai et veillerai sur la formalisation de ce partenariat&nbsp;», a-t-il indiqué.Et d’ajouter :&nbsp; «&nbsp;La nouvelle image de la RTNC est déjà en cours. Je pense que bien au-delà du travail technique que nous avons fait en terme des matériels, il y a un travail plus important à faire. Nous ne devons pas regarder la RTNC que sous le prisme de Kinshasa. Nous nous comptons faire un travail énorme notamment à &nbsp;l'intérieur du pays pour aller voir ce qui se fait là-bas. C’est-à-dire comment améliorer et comment rapprocher nos populations de la bonne information à travers le déploiement de la télévision nationale. J’estime que le personnel doit constamment être formé et s'adapter à l'évolution technologique. Il faut avoir des studios modernes, mais tout est déjà dans l'agenda et ce n’est plus qu'une question de temps. Nous allons continuer et consolider le travail que nous avons déjà préalablement commencé durant le quinquennat passé du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi&nbsp;» a-t-il expliqué.Au dernier jour dans la matinée, le ministre avait visité les deux autorités de régulation en Côte d’Ivoire. À l’agence nationale de la presse (ANP), il s'est rendu compte que les deux pays, la RDC et la Côte d'Ivoire font face aux mêmes défis. «&nbsp;Je voulais savoir un peu comment fonctionne l'écosystème ivoirien et là, je réalise que nous faisons pratiquement face aux mêmes défis. J'ai réalisé que nous pouvons avoir les mêmes opportunités et l'un peut s'inspirer de l'autre&nbsp;», a expliqué le ministre de la Communication et Médias.Les deux parties ont échangé sur plusieurs questions notamment celle liée à la mutation stratégique de la presse écrite vers la presse numérique. Les avantages de chaque catégorie et la nécessité de trouver un bon business modèle plus rentable.La deuxième étape de sa visite l’avait conduit à la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA). Là également, il s'était soumis au même exercice. C’est-à-dire une séance de travail passant en revue les différents services notamment le data center et la salle de monitoring."J'ai mis ce séjour à profit pour comprendre comment l'écosystème des médias fonctionne en Côte d'Ivoire et la visite d'aujourd'hui à la Haute autorité de la communication audiovisuelle, c'est pour boucler la boucle de toutes ces visites. Ici, j'étais édifié par la collaboration qui existe entre cette structure et les réseaux sociaux, influenceurs et autres du métiers de la communication. Aussi, la collaboration établie avec les grands groupes comme Google, Méta, TikTok, X … au sujet d'une certaine régulation par rapport à certains contenus", a souligné le ministre à la presse ivoirienne et congolaise.Avant de s’envoler pour Paris où il est en &nbsp;tournée médiatique en vue de rappeler à l’opinion internationale, les nouvelles priorités du Gouvernement SUMINWA entre autres la sécurité dans l’Est du pays, l’accroissement d’emplois, du pouvoir d’achat, d’économie, plus d’accès aux services de base avec des services publics plus efficaces …, le ministre s’était apprêté aux jeux de questions-réponses sur la télévision ivoirienne câblée Business 24. Là, il avait abordé les mêmes sujets et avait lancé l’appel à manifestation d’intérêt par la République Démocratique du Congo à l’endroit de tout opérateur économique désirant investir dans l’industrialisation des minerais et autres.«&nbsp;Je pense qu’Abidjan et Kinshasa sont deux capitales ayant les mêmes similitudes et qu’il y a de fortes possibilités de renforcer nos liens et notre coopération. Je remercie le peuple ivoirien à travers, le ministre ivoirien de la Communication et Médias Amadou COULIBALY, et Russel LOHORÉ m’ont fait le privilège d’être l’invité d’honneur de la 11ème édition des AS de la Communication. Je pense que ce passage à Abidjan n’est pas le dernier. C’est illustratif justement de ses besoins de communiquer davantage entre africains, mais aussi de faire une réflexion collective sur comment nous nous approprions le narratif sur notre continent. Parce que l’Afrique n’est pas non plus présenté sur son meilleur visage. Et si nous voulons présenter l’Afrique, comme le continent de l’avenir du monde sous le prisme d’une jeunesse résiliante et qui se mobilise qui s’informe, nous devons voir comment nous travaillons en partenariat entre congolais ivoiriens, camerounais et autres, nous tous étant fils du même continent&nbsp;», a-t-il conclu.

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Le ministre de la Communication et Médias Patrick MUYAYA KATEMBWE a séjourné du 10 au 12 juillet 2024 à Abidjan, en République de Côte d’Ivoire où il était en mission officielle.

Carnet de mission : Après les ASCOM, le ministre MUYAYA a compris l’écosystème ivoirien

D'entrée de jeu, l’ambassadrice du Royaume Uni, Alyson King OBE, a d'abord félicité le nouveau gouvernement de la Première Ministre Judith Suminwa. Elle a, ensuite, partagé sa réflexion sur trois points.D'abord, a-t-elle témoigné, la RDC est importante pour le Royaume Uni et le monde entier en tant que pays solution dans la lignée vitale pour celui de l'humanité. "Le bassin du Congo est vitale pour le monde. Le cobalt et le lithium de la RDC sont importants pour la transition énergétique. La RDC est le cœur battant de l'Afrique", a-t-elle indiqué.Deuxièmement, le Royaume Uni est ici présent en RDC. Dans l'Est de ce pays, les humanitaires britanniques sont à pied d'œuvre pour aider les victimes de viols et de guerre en général.Troisièmement, elle a rappelé les relations bilatérales entre les deux pays. "Plus nous nous connaîtrons, plus nous trouverons des opportunités de faire de choses ensemble. Qu'il s'agisse de développer le marché de carbone, énergie solaire, production alimentaire et les soins de santé universel. Cela nécessitera des efforts de part et d'autre", a-t-elle conclu.Invité d'honneur, le Ministre Patrick Muyaya a introduit son message par une petite anecdote. "J'ai comme l'impression d'être l'invité d'honneur pour la fête du Roi, ceci n'a évidemment pas de lien avec le fait qu'avec le Président de la République, nous avons eu l'honneur de rencontrer le Roi. Je pense qu’il était le deuxième Chef d'État, qu'il rencontrait en septembre 2022", a expliqué le porte-parole du gouvernement."Vous aviez tout dit, mais il y a quelque chose qui résume un peu tout ce que vous avez décrit, parce que la République Démocratique du Congo avec le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a avancé le décollage, mais vous savez lorsque vous démarrez une voiture, surtout pour ceux qui ont les véhicules Diesel, vous démarrez, vous attendez un peu le moteur, parce que pendant les longues années, elle a été mal racontée. Lorsqu'on parle de la RDC, on ne parle que de la guerre, on ne parle que de la violence, mais on parle très peu des congolais résilients qui dans chaque coin du Congo font beaucoup de petites choses qui gardent ce pays en vie et qui permet à ce pays aujourd'hui d'être le pays solution de l'humanité", a déploré le Ministre Muyaya.D'après le Ministre de la Communication et Médias, la paix est essentielle pour le décollage de ce pays. "La paix, c'est la raison principale d'ailleurs pour laquelle nous tous, nous sommes aux côtés de vous et nous avons, Chère Alyson, des diffusions qui sont assez difficiles quelques fois, mais ce n'est pas le lieu d'en reparler ce soir; mais nous sommes sûrs qu'avec nos partenaires à la fois britannique et outres de la communauté internationale, nous allons réussir autour du Président de la République à relever le défi de la paix qui va permettre à ce pays de déverrouiller son total potentiel et parce que vous vous avez le privilège d'être voisin du fleuve Congo, je voudrais faire l'économie pour ne pas répéter ce que vous avez dit tout à l'heure autour de notre potentiel à la fois, halieutique, hydrographique, minier etc...", a renchéri le Ministre Muyaya.Il a également fait allusion que la RDC est un pays solution. "C'est effectivement un pays solution et il est clair que si les entrepreneurs britanniques étaient hésitants, c'est ici qu'ils doivent venir parce que les puissances du monde de demain sont ceux qui mettront les pieds en République Démocratique du Congo et je pense que pour ça, personne ne peut me contredire&nbsp;», a-t-il avancé.Le Porte-parole du gouvernement a insisté aussi sur les femmes particulièrement le fait que la RDC est un pays du champion de la masculinité positive. Pour preuve, c'est une femme qui est à la tête de l'exécutif, en la personne de Judith SIMINWA TULUKA.Le Ministre Muyaya n'a pas manqué de dire un mot à l'endroit des enfants et de la jeunesse congolaise. Des enfants avec la gratuité de l'enseignement de base facilité aujourd'hui avec le projet de 145 territoires qui était jadis piloté par celle qui est aujourd'hui est la toute première Première Ministre de la République Démocratique du Congo. "Tous ces exploits poussent à raconter autrement l'histoire de la RDC", a insisté le Ministre de la Communication et Médias."C'est pour vous dire chère Alyson que les enjeux et les besoins du Congo sont bien compris et qu'il y a un gouvernement qui est à l'œuvre, et qui s'assurera avec nos moyens, avec nos partenaires que nous puissions écrire une belle histoire, comme on la chante dans notre hymne national, qui a été si bien interprété pour construire un pays plus beau qu'avant", a-t-il conclu avant de convier les invités à lever leurs verres en l'honneur du Sa Majesté le Roi Charles III célébré en ce jour et aussi dans le cadre de l'amitié qui lie la République Démocratique du Congo et le Royaume Uni.Notons que cette soirée festive a connu la présence des membres du gouvernement SUMINWA, ceux du bureau de l'Assemblée nationale, de la société civile, les représentants du Président de la République et les professionnels de médias.

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Le Ministre de la Communication et Médias Patrick MUYAYA KATEMBWE était l’invité d’honneur de l’ambassade du Royaume Uni à Kinshasa, le jeudi 20 juin 2024, à l’occasion de la célébration de l’anniversaire de naissance du Sa Majesté le Roi Charles III.

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